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Plasticité neuronale des voies périphériques et centrales contrôlant la prise alimentaire

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dc.contributor.author Zeeni, Nadine
dc.date.accessioned 2018-07-26T11:09:54Z
dc.date.available 2018-07-26T11:09:54Z
dc.date.copyright 2009 en_US
dc.date.issued 2018-07-26
dc.identifier.uri http://hdl.handle.net/10725/8215
dc.description.abstract Plusieurs régions cérébrales participent au contrôle du comportement alimentaire, notamment l’hypothalamus et le tronc cérébral. Des stimulations anorexigènes telles que l’action de peptides intestinaux comme la cholecystokinine (CCK) ou l’oxyntomoduline ; ainsi que de la neurotrophine BDNF (brain-derived neurotrophic factor) participent à ce contrôle de la prise alimentaire. De récentes études montrent que certaines interventions nutritionnelles comme la persistance d'une alimentation riche en lipides ou en protéines ont pour conséquence la modification de l'efficacité avec laquelle le cerveau peut générer le rassasiement à partir de stimulations digestives anorexigènes. Les mécanismes de plasticité neurobiologique à l'origine de ces phénomènes sont encore inconnus, pourtant, ils sont probablement responsables en partie des dérèglements précoces qui accompagnent l'apparition de l'obésité, chez l'animal mais aussi chez l'homme. Objectif: L’objet de ces travaux a été de déterminer si la nature d’un régime alimentaire (enrichi en lipides ou en protéines) agit sur la sensibilité des voies périphériques et centrales de la satiété aux médiateurs anorexigènes. Résultats: Les résultats obtenus ont établi que des interventions nutritionnelles peuvent modifier le comportement alimentaire ainsi que l’interprétation de certains signaux anorexigènes. Ceci a été mis en evidence tout d’abord en démontrant qu’un régime hypercalorique et hyperlipidique mène à une diminution du message anorexigène du BDNF au niveau des récepteurs dans l’hypothalamus et les ganglions plexiformes. De plus, nous avons démontré par une technique d’IRM qu’un régime hyperlipidique cause une désensibilisation au peptide anorexigène CCK. Conclusion: Sous l’influence des régimes, les signaux impliqués dans le contrôle de la prise alimentaire sont susceptibles d’être modulés au cours du temps. La plasticité neuronale pourrait constituer un élément central de ces adaptations en_US
dc.language.iso fr en_US
dc.title Plasticité neuronale des voies périphériques et centrales contrôlant la prise alimentaire en_US
dc.type Thesis en_US
dc.author.degree PHD en_US
dc.author.school SAS en_US
dc.author.department Natural Sciences en_US
dc.description.embargo N/A en_US
dc.author.advisor Tome, Daniel
dc.keywords Plasticité neuronale en_US
dc.keywords Aliments en_US
dc.keywords Consommation en_US
dc.description.bibliographiccitations Includes bibliographical references en_US
dc.identifier.ctation Zeeni, N. (2009). Plasticité neuronale des voies périphériques et centrales contrôlant la prise alimentaire (Doctoral dissertation, Paris, AgroParisTech). en_US
dc.identifier.tou http://libraries.lau.edu.lb/research/laur/terms-of-use/thesis.php en_US
dc.identifier.url https://www.theses.fr/2009AGPT0065 en_US
dc.publisher.institution Institut national agronomique Paris-Grignon en_US
dc.author.affiliation Lebanese American University en_US


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